Le Haut conseil du Dialogue social a tenu un atelier de partage avec le conseil national du Patronat CNP sur » l’oeil ouvert des employeurs sur le télétravail ». L’objectif est d’approfondir la réflexion autour de l’étude commandité par le CNP sur le télétravail.
Cette étude fait l’objet de réflexion qui est en cours et qui doit adapter le corpus juridique aux normes du travail à ce nouveau contexte de COVOD-19. Il constitue un terrain qui compte beaucoup de préoccupations. Il faut intégrer dans le corpus juridique l’adaptation du télétravail. Voir dans quelle mesure les préoccupations ne soient pas laisser en rade dans l’élaboration du nouveau texte qui intègre le télétravail. « La problématique de l’encadrement juridique de ses modalités d’exercice dans un monde du travail qui, par les mutations rapides et complexes dont il est sujet, interpelle plus que jamais les mandants à faire preuve d’anticipation pour cerner les enjeux de l’heure et relever les défis du futur », a déclaré la présidente du HCDS Innocence Ntap Ndiaye.
Le travail à domicile par le télétravail doit prendre en compte les occupations et l’occupation du milieu familial et des infrastructures sont tant de choses qui doivent pousser à approfondir la réflexion. Il y a des entreprises certes qui ont commencé à pratiquer le télétravail en laissant intact le contrat du travail établi. C’est donc une volonté d’ouverture de discuter afin de trouver un consensus qui intègre tous les préoccupations dans le télétravail travail. « Nous avons jugé nécessaire et urgent de mener les réflexions idoines pour définir les rapports contractuels en cas de télétravail, tout en prenant en compte les mutations technologiques et l’évolution de la transformation digitale », a souligné Maissa Fall vice président du CNP.
Mais il faut dire qu’il y a des télétravail qui existaient avant la pandémie, leurs préoccupations aussi sont à prendre en compte. Ceux qui travaillent sur la monnaie. Il faut donc penser à jeter un œil sur ces acteurs pour qu’ils ne soient pas lésés