Le plaisir de s'informer juste et vrai, en temps réel !

CLIQUEZ SUR L'IMAGE POUR NOUS SOUTENIR

Mandat présidentiel : Idrissa Séck pour une fréquence n’excède pas dix ans, deux mandat de cinq ans »

2 744

« Retenez bien que, du Sopi hier au Rewmi aujourd’hui, je poursuis invariablement, et inlassablement, le même projet politique, dont les piliers demeurent constants » a d’emblée souligné le leader du parti Rewmi qui s’exprimait ce jeudi lors d’une audience avec des étudiants. Idrissa Seck de rappeler que l’un des piliers de ce projet Sopi qui était absolument central, était que nous devions faire du Sénégal une démocratie majeure où la transmission du pouvoir se fait sans violence, à un rythme régulier dont la fréquence n’excède pas dix ans, deux mandats de 5 ans, pas trois.

 

 

Face à des étudiants, le Président du CESE par ailleurs président du parti Rewmi est largement revenu sur le projet « Sopi ». Selon lui, l’un de ces piliers est de faire de notre pays un pays souverain, respecté de tous ses partenaires, doté de moyens sécuritaires appropriés, en personnels, équipements et infrastructures, pour faire face efficacement aux menaces extérieures et intérieures, afin d’offrir aux citoyens, comme aux étrangers vivant parmi nous, un environnement pacifié et sécurisé pour l’exercice de leurs activités légitimes.

« Un Sénégal où l’on ne marchera pas sur des cadavres pour arriver au pouvoir ou s’y maintenir. Un Sénégal qui mène une diplomatie de bon voisinage, d’intégration africaine et de participation à la promotion de la liberté, de la paix et de la stabilité dans le monde » a notamment affirmé le leader de Rewmi. Et de poursuivre : « Si je n’avais pas fait ce que j’ai fait en répondant à l’invitation du président Sall de joindre nos forces, pour d’abord éviter de placer notre pays en situation de tensions, nous rendant vulnérable face aux attaques extérieures, ensuite diminuer l’impact de la Covid-19, dont la fin a vu naître une autre crise mondiale, la guerre en Ukraine, le Sénégal aurait pu rejoindre le Mali, la Guinée et le Burkina Faso dans l’instabilité, le terrorisme, le jihadisme ».

Ainsi, il affirme qu’il ne regrette rien, même si on qualifie ça de tortuosité. « J’ai voulu, comme je vous l’ai dit, la paix, la sécurité, la stabilité, conditions premières d’exercice de toute activité humaine. Pour moi, l’objectif est atteint. Le Sénégal a traversé cette tempête qui a emporté bien de nos voisins. », dit-il.

 

Idrissa Séck de poursuivre que sur un autre plan, un pilier du projet Sopi qui était absolument central, était que nous devions faire du Sénégal une démocratie majeure où la transmission du pouvoir se fait sans violence, à un rythme régulier dont la fréquence n’excède pas dix ans, deux mandats de 5 ans, pas trois.

« D’où mon combat contre Wade en 2012, malgré l’immense affection que je voue à ce leader africain d’exception qui aurait pu, à l’image de Mandela, bénéficier d’une sortie honorable, n’eût été l’hubris et la double tentation d’un troisième mandat et d’une dévolution monarchique du pouvoir.
Voilà ma position sur ces questions-là.

Il y avait, dans notre projet d’origine, bien d’autres piliers que j’aurai l’occasion de vous expliciter en fonction de vos centres d’intérêt. » »

2 commentaires
  1. Hi! I’ve been eading your wenlog for a llng time nnow
    annd finally got thhe coirage tto goo auead and giive you a shout out from New Caney Texas!

    Just wanted tto mention kee up thee good job!

  2. Maribel Rabanal 1a dit

    Excellent, what a blog itt is! This webpage presents helpful data to us, keep
    it up.

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.