Les six sages-femmes et la gynécologue de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye, accusées de négligence ayant causé la mort d’Astou Sokhna, ont été entendues hier, jeudi, au niveau du commissariat central de Louga. Elles étaient de garde le jour du décès de la victime, qui était au terme de sa grossesse.
Les mises en cause ont balayé les accusations de négligence et de non-assistance à personne en danger ayant entraîné la mort d’Astou Sokhna.